A. François and . Lacombe, Musiques du cinéma français Gimello-Mesplomb, Frédéric, Esthétique de la musique de film, la musique dans le cinéma de la Nouvelle Vague : esthétique, forme, montage, Chion, Michel, La musique au cinéma, pp.117-118, 1995.

. Ce-n-'est-certainement-pas-un-hasard, si Vivaldi a été un des compositeurs les plus souvent cités, mais aussi pastichés : sa musique, d'une simplicité d'allure immédiatement populaire, tout en gardant sa réserve « chic » et savante, n'est elle pas synonyme de mouvement, et le mouvement n'est-il pas partie intégrante, par étymologie, du cinéma ?, p.251, 1995.

F. Truffaut, Voix-off, p.72, 1964.

. Tournès and D. Ludovic, Une histoire de la musique enregistrée En 1960, un disquaire note : « Au temps du 78 tours ? vers 1933 ? Bach et Vivaldi étaient bien loin de trouver une audience comparable à celle, presque décuplée, qu'ils ont obtenue depuis la dernière guerre, Le disque et la musique contemporaine » dans Esprit La symphonie fantastique de Berlioz dans Antoine et Colette, pp.84-76, 1960.

C. Mais-pas-n-'importe-laquelle,-comme-le-résume and . Bosséno, En un mot, il aiment : Moi, j'aime le music-hall, et pas la chanson engagée « à texte » des années 60 ni, surtout, la chanson sérieuse (c'est également pour ça que Truffaut élit Alain Souchon dans les années 70) Parmi les premières acquisitions de la discothèque qu'il constitue lorsque ses revenus lui permettent enfin, à la fin des années 50, de vivre grand train figure une conséquente rangée de disque de Trenet, p.384, 2004.

A. Baecque and S. Toubiana, 60 On peut même se demander si ça connaissance de La symphonie fantastique ne vient pas également de sa cinéphilie : la vie de Berlioz ayant fait l'objet d'un film éponyme de Christian-Jacque, p.288, 1941.