D. Texte-mentionné-par and . Cange, ? oblatae servantur, cum cochleari argenteo quo in patena ponuntur

L. Velay, de la fin du XIème siècle mais qui conserve peut-être des témoins d'époque antérieure puisque ce monastère est de fondation mérovingienne

. Cartulaire-de-l-'abbaye-du-monastier, Paris 1884, p. 43; ce cartulaire-chronique évoque la venue de moines de Lérins au VIème siècle appelés par Calmilius le fondateur, cf. aussi C. LAURANSON-ROSAZ, L'Auvergne et ses marges

. Viiième-au-xième-siècle, La fin du monde antique?, Le Puy-en-Velay 1987, pp.217-282

. Sur-les-plats-au-décor-cruciforme-et-sur-les-cuillers-en-argent, La mention Saulos pourrait être aussi simplement la répétition de Paulos mais toujours de manière maladroite, ce qui s'accorde encore avec l'hypothèse d'un passage des cuillers par la

. V. Gaule and . Milojcic, Zu den spätkaiserzeitlichen und merowingischen Silberlöffeln " dans Bericht der Römisch-Germanischen Kommission 49, pp.111-133, 1968.

R. A. Markus, The Chronology of the Gregorian Mission to England: Bede's Narrative and Gregory's Correspondence, The Journal of Ecclesiastical History, vol.60, issue.01, pp.16-30, 1963.
DOI : 10.1093/jts/XII.2.298

. J. Laporte, Vues sur l'histoire de l'abbaye de Fleury aux VIIème et VIIIème siècles, dans Le culte et les reliques de saint Benoît et de sainte Scholastique, Studia Monastica J. DESHUSSES et J. HOURLIER J. HOURLIER, vol.21, pp.109-142, 1979.

I. Diacre, La translation d'après les sources narratives, Ibidem Adrevald, Historia translationis et miracula sancti Benedicti, ed. E. de CERTAIN, 1858 et A. VIDIER, L'historiographie à Saint-Benoît sur Loire, 1965. Philippe VERDIER, La vie et les miracles de saint Benoît dans les sculptures de Saint-Benoît-sur-Loire, J. HOURLIER, pp.205-212, 1977.

C. Thomas and H. , Hagiography and the Cult of Saints. The Diocese of Orleans 800-1200, p.116, 1990.

I. Frédégaire, W. Cahn, and J. Humbert, cf. gallican, dijonnais, d'Adon et d'Anchin et dans un bréviaire antique de l'Eglise de Fréjus Ils reprennent pour la Vita le texte publié par Philippe LABBE, Novae bibliothecae manuscriptorum librorum, Paris 1657, I, 695-699 à partir d'un codex silviniacensis, apparemment perdu aujourd'hui; Souvigny, en Bourbonnais, fut fondé vers 960 par saint Maïeul de Cluny (cf. infra note 46) qui y mourut et y fut inhumé en 994, cf. F. LARROQUE, Souvigny, les origines du prieuré, dans Revue Mabillon 240 Contribution à l'histoire de la bibliothèque du prieuré de Souvigny La deuxième Vita se trouve dans le manuscrit Grenoble B.M. 49, elle est éditée dans Analecta Bollandiana 11, Ajoutons que la petite église Saint-Erige (ou Arige) à Auron sur la commune de Saint-Etienne-de-Tinée dans les Alpes-Maritimes, qui, dans son état actuel et 129. 35. cf. P.A. FEVRIER, Gap, dans Topographie chrétienne des cités de la Gaule, pp.161-167, 1966.

E. C. Vitae-sanctorum-hiberniae and . Plummer, Lives of Irish Saints, pp.15-68, 1910.

I. Le-thème-de-la-méchante-reine-brunehaut-situe-cette-vita-dans-un-contexte-historique-précis,-le-règne-de-clotaire and W. Ian, Forgery in Merovingian Hagiography, dans Fälschungen im Mittelalter, Teil V, Fingierte Briefe. Frömmigkeit und Fälschung, pp.369-384, 1988.

L. Janet, J. L. Nelson, and . Nelson, Queens as Jezebels: Brunhild and Bathild in Merovingian history Politics and Ritual in Early Medieval Europe Ian Wood montre que, après la mort de Childebert II, Brunehaut exerce un pouvoir considérable dans le monde franc et que Grégoire le Grand s'appuie sur elle pour soutenir la mission d'Augustin en Angleterre. En revanche après 613, pp.450-751, 1986.

B. Viième-viiième-siècle-selon and . Krusch, En revanche c'est seulement dans la Vita rédigée par Sisebut qu'il est fait mention de trois leprosii: tres morbo oppressi leprosi medendi ad eum gratia convenerunt. Cette mention n'est peut-être pas suffisante pour manifester une dépendance de la Vita Aregii par rapport à cette Vita Desiderii de Sisebut. C'est en effet seulement dans la Vita d'Aregius que les soins et la guérison des trois lépreux sont associés au contexte pascal, On pourrait penser aussi à une allusion liturgique au lavement des pieds le jeudi saint, cf. H. LECLERCQ, DACL VIII-2, 1929.

A. Est, En revanche le double nom pour Aregius-Gregorius de Nîmes est une supposition fondée sur l'existence d'une ancienne liste reprise dans la Gallia Christiana et réinterprétée par L. Duchesne dans les Fastes épiscopaux: on trouve dans la liste Palladius

E. Raymond, Répertoire des manuscrits des homélies sur l'Evangile de saint Grégoire le Grand, dans Sacris Erudiri 36, pp.107-145, 1996.

. J. Roux, Les évêchés provençaux de la fin de l'époque romaine à l'avènement des Carolingiens (476-751), dans Provence Historique, pp.371-420, 1971.

. D. Cf, A. Iogna-prat, and . Immaculati, Recherches sur les sources hagiographiques relatives à saint Maieul de Cluny (954-994), pp.120-121, 1988.