F. Indications-générales-dans and . Prinz, Il monachesimo nell'alto medioevo e la formazione della civiltà occidentale. Settimana di ? Spoleto IV. Spolète 1957, en particulier: C. Courtois Aspetti e problemi del monachesimo in Italia Le conseguenze dell'invasione longobarda per l'antico monachesimo italico, Munich Vienne 1965. G. Penco, Storia del monachesimo in Italia dalle origini alla fine del Medio Evo, pp.47-72, 1952.

C. Du, C. Chantilly, G. Jenal, and C. C. , Das Westliche Mönchtum zur Zeit Gregors des Grossen Grégoire le Grand et la vie monastique dans l'Italie de son temps, Prinz, pp.123-136, 1982.

R. Xiième-siècles and . Bénédictine, la vie de saint Hugues d'Anzy-le-duc connaît bien cette lettre de Grégoire mais cette Vita ne peut être datée précisément, pp.146-150, 1992.

P. A. Février, Topographie chrétienne des cités de la Gaule, provinces de Vienne et d'Arles, pp.82-83, 1986.

B. Judic, Introduction à Grégoire le Grand, pp.57-62, 1992.

R. Büchner, Die Provence in merowingischer Zeit, p.77, 1933.

L. Hartmann-considère-contre-les-mauristes-qu and M. G. Ii, 204: mort du frère d'Aurelianus, peut-être s'agit-il de la famille de Dynamius Agricola et ejusmodi similes, la noblesse romane et la fin des temps mérovingiens " , dans Haut moyen âge, culture, éducation et société, En dernier lieu sur ces personnages: J.P. Poly, pp.202-206, 1990.

J. Guyon, Topographie chrétienne des cités de la Gaule, provinces de Vienne et d'Arles, pp.132-169, 1986.

L. Saladino-e-maria and C. Somma, Elementi per una topografia di Rieti in et?? tardoantica ed altomedievale, M??langes de l'Ecole fran??aise de Rome. Moyen-Age, Temps modernes, vol.105, issue.1, 1993.
DOI : 10.3406/mefr.1993.3283

. Georges-connu-dès-le, VIIIème siècle et bien situé intra muros est un monastère féminin et donc ne peut pas non plus convenir a priori

A. De-vogüé, . De-grégoire-le-grand, S. C. Dialogues, P. Et, and . Boglioni-nelle-opere-di-gregorio-magno-dans-il-ducato-di-spoleto, Atti del IX congresso internazionale di studi sull'Alto Medioevo, Spoleto 1982 Spolète 1983, sur le monastère Saint-Marc p. 269 n. 6, p. 279 n. 28 et surtout p. 317, sur la lettre à l'évêque Chrysanthe p. 309. Une carte après la p. 333 montre la localisation de San Marco in pomeriis au sud du mur romain, à l'extérieur, ce qui paraît contradictoire avec l'indication in pomeriis mais s'explique peut-être par l'existence d'un autre mur refermant une échancrure du mur romain dans laquelle se trouve San Marco, Dialogues III, vol.260, issue.14, pp.393-394, 1979.

. Spolète, Une lettre de Pélage I° en 558-559 mentionne un monasterium Sancti Iuliani sur le Monte Luco au sud-est de la ville, au lieu où se trouve l'église romane de San Giuliano, cf A. de Vogüé, Dial, Commentaire sur I Rois. S.C, vol.351, pp.33-59, 1989.

J. C. Picard, Le souvenir des évêques. Sépultures, listes épiscopales et culte des évêques en Italie du nord des origines au Xème siècle On peut byzantin est attesté à Luni jusque vers 600 mais la ville ne passe sous la domination lombarde qu'en 640 (conquête de la Ligurie par Rothari), pp.180-184, 1988.

D. Ambrasi, Gregorio Magno e Napoli Agnella et se demande si l'abbesse Tecla dans la maison du défunt Félix doit être rattachée aussi à ce monastère, Campania Sacra J, vol.21, pp.8-43, 1990.

. Desmulliez-de-topographie-napolitaine, s'appuyant sur D. Norberg, Notes on the letters of Gregory the Great, Filologist Archiv 1982, indique que la patricienne Rustica n'était autre que l'épouse du scholasticus Félix, ce qui relie clairement les lettres 3, pp.873-879, 1986.

M. Rothenhäusler, Gregor I und die Stabilität des Mönchs, kanonistische Abteilung, vol.3, issue.34, pp.152-155, 1913.

D. Cf-storia and . Napoli, ce fut d'abord le site de l'une des luxueuses villas de Lucullus. En 476 c'est là que fut relégué le dernier empereur d'Occident Romulus Augustule, pp.182-183, 1975.

J. Desmulliez, En réalité les deux localisations sont très proches et peut-être non exclusives, si l'on place le 50L'exercice du ministère paroissial par les moines dans le haut moyen âge Revue Bénédictine 39, 1927, sur Grégoire p. 231-233. T.P. Mac Laughlin, Le très ancien droit monastique de l'Occident, Arch 17 est le plus important de tous les privilèges envoyés par Grégoire avec une limitation de la juridiction de l'évêque puisque l'abbé peut en appeler à Rome mais il s'agit sans doute d'un cas exceptionnel, cité) renouvelle la localisation proposée par les Mauristes Jurisdicio und condicio. Eine Untersuchung zu den Privilegia libertatis der Klöster Zeitschrift der Savigny-Stiftung für Rechtsgeschichte, kanonistische Abteilung, pp.148-151, 1935.

S. Dagens and . Grégoire-le-grand, Culture et expérience chrétiennes souligne l'importance du ministère de la conversion et la responsabilité qui incombe aux moines aussi bien qu'aux clercs, s'appuie sur R. Rudmann, Mönchtum und kirchlicher Dienst in den Schriften Gregors des Grossen, Diss. Univ. S. Anselme, pp.330-331, 1956.

C. G. En-dernier-lieu, . Jenal, C. Dans-grégoire-le-grand, P. L. , R. Benedicti et al., Au problème de la juridiction des évêques s'ajoute celui de la régle véritablement suivie par les moines. Il n'est plus question aujourd'hui de faire de Grégoire un bénédictin; il ne joue en outre aucun rôle direct dans la diffusion de Papa Gregorio Magno, il monachesimo siciliano e dell'Italia meridionale e gli inizi della vita monastica presso gli Anglosassoni " dans Sicilia e Italia Suburbicaria tra IV e VIII secolo Atti del convegno di studi, Catania Catane 1991, p. 7-20. 51. cf P.A. Février, Christiana tempora, dans Histoire de la France urbaine, tome I Césaire d'Arles fonde un monastère de moniales entre André et l'activité de Grégoire et de ses moines. On notera aussi que lors de la fondation de l'abbaye de Bobbio vers 612 par Colomban, les saints patrons sont Pierre, Paul et André. 56. On pourrait hésiter en Sicile entre le Pancrace romain et Pancrace évêque de Taormina, mais la liste donnée dans ep. 9, 233 est bien romaine et nous sommes loin de Taormina. Même à Messine où l'évêque Félix consacre une basilique aux saints Etienne, Pancrace et Euplus, P. Minard (S.C. 370) y voit le Pancrace martyr romain contre L. Cracco Ruggini qui y verrait plutôt Pancrace de Taormina. Mentionnons aussi la transformation d'un temple païen en une église Saint- Collectanea cisterciensia 46, pp.423-449, 1979.

P. Boglioni, cité, souligne la postérité de la politique de Grégoire chez Boniface IV et Honorius I (625-638) qui apparaissent cependant comme des exceptions parmi tous les papes du VIIème siècle puisque le monachisme romain devient essentiellement grec dans sa partie la plus, p.51

. Sansterre, Le monachisme byzantin à Rome, Settimane di Spoleto 34, p.729

. Hom, . C. Ez, and S. C. Morel, Ab Hierusalem quippe ad Babyloniam uenerat. Et quid Hierusalem nisi uisio pacis, quid Babylonia nisi confusio uocatur? Quisquis uero a rectis operibus in peruersis actibus cadit, quoniam a bono studio ad uitia defluit, p.409

. Ep, 33 adressée à Léontius ex-consul en Sicile qui lui avait envoyé de l'huile, du bois d'aloès, de l'encens. Plerumque contigit ut et cives Babyloniae in angaria serviant Jerusalem

A. Lauras and H. Rondet, Le thème des deux cités dans l'oeuvre de Saintt Augustin, Etudes Augustiniennes, coll. Théologie, vol.28, pp.107-146, 1953.

C. C. Mor, Columnae coeli contremiscunt, et pavent as nutum ejus. Quid aliud columnas coeli quam vel sanctos angelos, vel summos Ecclesiae praedicatores appellat? ? Possumus etiam columnas coeli et ipsas Ecclesias non inconvenienter accipere, quae multae unam catholicam faciunt toto terrarum orbe diffusam, pp.42-44, 1979.