C. Benoit, Histoire de l'abbaye et de la Terre de Saint-Claude

G. Moyse and . Saint-claude, L'église de Poncin a pour patron saint Martin et dépendait de l'abbaye de Saint-Claude. Des fouilles archéologiques dans les années 80 du XXè siècle ont été menées sur le chantier de l'autoroute A 42. A la hauteur de Poncin, ces fouilles ont permis de repérer ou d'étudier un site protohistorique, un site gallo-romain et un site mérovingien, 1995.

G. Vicherd, A. Dans-l-'ain-et-archéologie-de-la-france, T. I. Sud-est, P. Et-corse, and . Picard, Les premiers monuments chrétiens Sur l'église de Vonnas, cf. Marie-Thérèse Fourneron, L'ancienne église paroissiale Saint-Martin de Vonnas, dans La figure de saint Martin de Tours, l'exemple de l'Ain, journée d'étude, 14 novembre 2009. Le palais abbatial de Saint- Claude a été récemment fouillé par Sébastien Bully. Voir aussi B. Judic, L'influence de saint Martin sur le premier monachisme et sur l'évangélisation des pays de l'Ain, p.204, 1995.

M. Cf, G. Heinzelmann, and . Von-tours, Zehn Bücher Geschichte, pp.538-594

H. Sozomène and V. , Sources Chrétiennes 495 Saint Martin dans les synaxaires des Eglises orientales, Bulletin de la Société Archéologique de Touraine 1995 Voir aussi Trpimir Vedris, " Frankish " or " Byzantine " Saint? The Origins of the Cult of Saint Martin in Dalmatia, dans Savva Neocleous ed., Sailing to Byzantium. Papers from the First and Second Postgraduate Forums in Byzantine Studies, Cf. Gérard Troupeau, pp.220-249, 2005.

. Cf, Liber pontificalis, texte, introd. et commentaire par Louis Duchesne, tome I, réed, 1955.

. Dial and . Ii, Grégoire emploie le même mot pour désigner l'église saint Jean et l'église saint Martin, oraculum pour oratorium (c'est là un hapax de Grégoire le Grand qui fait le même emploi de oraculum au sens de oratorium dans la lettre 13, et cite en premier la dédicace à saint Martin, pp.10-11

S. Vivarium and G. Cavallo, Libri e cultura nelle due Italie longobarde, dans Il futuro dei Longobardi. L'Italia e la costruzione dell'Europa di Carlo Magno, p.93, 2000.

P. Ep, On peut aussi remarquer le patronage de la cathédrale de Lucques qui est bien antérieur à la conquête carolingienne du royaume lombard. En outre la présence d'un patronage martinien à Arles au début du VIè siècle, au temps de Césaire, p.284

. Rappelons-que-le-patrice-ricimer-est-le-vrai-maître-de-rome, entre 455 et 472 et qu'il est arien Un peu plus tard, Théodoric, envoyé avec son armée ostrogothe par l'empereur Zénon contre Odoacre en 488, était également arien. Cet arianisme gothique avait sans doute avant tout une fonction politique: distinguer le groupe des guerriers goths du reste de la population italique. D'une façon générale tous ces matériaux italiens concernant saint Martin sont développés dans B, Judic, Les modèles martiniens dans le christianisme des Vè ? VIIè siècles, dans Michèle Gaillard (dir.), L'empreinte chrétienne en Gaule, 2014.

M. Pavan, V. Fortunato, M. Venetia, and . Reydellet, Tradition et nouveauté dans les Carmina de Fortunat p. 81-98 Sur les relations entre Fortunat et Radegonde: Claire Thiellet, Femmes, reines et saintes (Vè ? XIè siècles), Paris PUPS Sur l'aspect « balkanique, pp.11-24, 2004.

. F. Cf, . Graus, H. Volk, and . Heiliger-im-reich-der-merowinger, Wolfgang Metz, Adelsforst, Martinskirche des Adels und Urgautheorie, Die Verehrung Martins von Tours in politischen Kontexten des Mittelalters, dans Rottenburger Jahrbuch für Kirchengeschichte 18, pp.191-75, 1965.

J. Cf and . Chelini, Alcuin, Charlemagne et Saint-Martin de Tours, dans Revue d'Histoire de l'Eglise de France 47, pp.19-50, 1961.